Les conséquences du vieillissement sur les articulations

Nous possédons tous plusieurs centaines d'articulations très mobiles et néanmoins fragiles. Les douleurs articulaires sont donc courantes et peuvent intervenir à tout âge.  Chez les jeunes, celles-ci sont le plus souvent traumatiques, liées à la pratique sportive et elles affectent les différents tissus : cartilages, membranes, liquide synovial, ligaments, etc. Chez les enfants, les entorses de la cheville par exemple représentent plus de 15% des traumatismes.

À partir d’un certain âge (entre 40 et 50 ans) les articulations subissent les conséquences du vieillissement et de l’accumulation des toxines dans l’organisme. On assiste alors à la dégradation du cartilage, appelée arthrose et au durcissement de certains tissus. Cette dégénérescence entraîne des douleurs chroniques aux épaules, aux coudes, aux poignets, aux mains, aux hanches, aux genoux, aux pieds et au dos.

Le terme « douleurs articulaires » englobe de nombreux autres troubles, plus ou moins graves, comme l’arthrite inflammatoire (cartilage), les crises de goutte (augmentation de l’acide urique), la polyarthrite rhumatoïde et la spondylite ankylosante (dérèglements du système immunitaire), etc., en fonction de leurs causes, de leur chronicité et de leur intensité.
 
Ces douleurs se caractérisent en général ainsi :
•    Douleur d'intensité variable qui apparaît sans raison apparente, subitement ou de façon graduelle pouvant être de courte durée (quelques jours ou semaines) ou persistante (plusieurs semaines ou mois)
•    Raideur après une période d'inactivité (particulièrement au réveil)
•    Manque de souplesse
•    Difficulté à bouger et à utiliser les membres (perte de mobilité)
•    Douleur aux articulations lors des mouvements
•    Gonflement (enflure), rougeur, chaleur, fatigue générale et raideur prolongée (une heure et plus) dans les formes inflammatoires.
 
Les problèmes articulaires liés au « vieillissement » sont considérés comme inguérissables. La plupart des traitements proposés ont donc pour but de soulager la douleur et d'améliorer la fonction articulaire avec de nombreux effets secondaires.
 D’autres alternatives sont pourtant possibles :

•    Adopter une bonne hygiène de vie afin de réduire la toxémie et effectuer des exercices adaptés est un excellent début.
•    Choisir une alternative naturelle et efficace aux traitements anti-inflammatoires et analgésiques « classiques » est encore mieux :

Curcudyn anti inflammatoire naturel curcuma + gingembre + vitamine C + Vitamine D

Nous avons tous entendu parler des vertus aphrodisiaques du gingembre mais cette vertu est bien anecdotique par rapport à tout ce dont il est capable.  Le curcuma est loin d’être en reste. Sa notoriété, plus que méritée, fait de lui un allié santé incontournable !

Rhizomes exceptionnels !

Dans les deux cas, la partie qui nous intéresse est le rhizome. Et particulièrement ses polyphénols. Les principaux composés actifs du gingembre sont les gingérols, alors que ceux du curcuma sont les curcuminoïdes (dont le principal est la curcumine). Le curcuma, appelé aussi l’or de L’Inde, fait l’objet de milliers d’études; tant ses vertus sont exceptionnelles. La curcumine a la capacité d’agir sur des dizaines de cibles moléculaires aux fonctions très variées (facteurs de transcriptions, cytokines pro-inflammatoires, enzymes, facteurs de croissance, kinases, récepteurs, molécules d’adhésion, protéases anti-apoptotiques …) et qui concernent de très nombreux organes.

Ces deux caractéristiques majeures lui confèrent des propriétés anti-cancer exceptionnelles, qui ont été démontrées à tous les stades de développement, à savoir de l’initiation du cancer au développement de métastases. De plus, la curcumine permet aussi d’augmenter la sensibilité  des cellules cancéreuses à la chimiothérapie et/ou à la radiothérapie, améliorant ainsi l’efficacité de certains traitements.  L’inflammation et l’oxydation sont aussi particulièrement impliquées dans l’étiologie des pathologies cardiovasculaires.  Outre ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et anti-cancer, le curcuma est aussi immuno-modulateur, hépato-protecteur, antiacide, hypocholestérolémiant, détoxifiant, anti-diabète …
Bref, la liste est longue.

CELA NE FAIT AUCUN DOUTE, LE CURCUMA ET LE GINGEMBRE FONT VRAIMENT LA PAIRE !

Les principaux atouts du gingembre sont ses propriétés digestives (anti-nausée, anti-gaz et ballonnements, anti-ulcère…), tonifiantes et fortifiantes, protectrices du système respiratoire (anti toux, angine, maux de gorge, otite,rhume,…), anti-inflammatoire, anti-allergie, stimulant du système immunitaire, anti-migraine, antipyrétique et aphrodisiaque.

Curcuma et gingembre : l’union fait la force !

Pour profiter des bienfaits d’une molécule, encore faut-il que celle-ci soit absorbée. Le curcuma n’échappe pas à cette règle. Sous sa forme naturelle, la biodisponibilité du curcuma est malheureusement très faible. Il faudrait dès lors en ingérer des quantités très importantes pour profiter de ses bienfaits. Diverses stratégies et processus sont dès lors élaborées afin d’augmenter l’absorption des principes actifs du curcuma et donc sa biodisponibilité. Un des processus technologiques fait appel à l’usage de solubilisas; jusqu’à ce jour la façon la plus efficace pour augmenter la biodisponibilité.
Cette technologie consiste à incorporer les curcuminoïdes dans des structures micelles augmentant 185 x leur biodisponibilité comparé à un extrait non traité de curcuma et 1350 x comparé à une poudre de curcuma standard (rhizome).

Choisissez cette alternative naturelle et efficace aux traitements anti-inflammatoires et analgésiques « classiques » : Curcudyn anti inflammatoire naturel curcuma + gingembre + vitamine C + Vitamine D, vos articulations vous remercieront